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Il s’agit d’une maison de type semi-mitoyenne, assez coquette de façade, en briques rouges (avec soubassement en moellons de grès), construite en 1932.

Le jardin est plus haut que la route (avec mur de soutènement) et en pente ascendante assez forte, mais reste précieux en milieu urbain.

Selon cadastre, la superficie bâtie au sol est de 55 m² et la superficie utile est de 117 m².

Elle est composée comme suit :

• Au rez-de-chaussée : à l'avant, un hall d'entrée et une pièce pouvant servir, par exemple, de bureau ; à l'arrière, des pièces aveugles (enterrées dans le jardin) et extrêmement basses, de sorte qu’elles ne peuvent pas être considérées comme habitables (elles peuvent servir uniquement de caves).
• Au premier étage (rez-de-jardin) : à l'avant, un salon ; à l'arrière, une grande pièce pouvant servir de salle-à-manger avec coin cuisine. Il y a également un accès vers le jardin. Il y a également une extension, à l'arrière, construite avec des murs simples en blocs, enterrés dans le jardin et avec une toiture en plastique ondulé. 
• Au second étage : deux chambres mansardées.
• Au -1 (par rapport à la chaussée) : une cave uniquement sous l'avant du bâtiment.

La maison est en très mauvais état d’entretien et appelle à de grosses rénovations.

Le jardin appelle également à de gros travaux dès lors qu’il est totalement en friche et qu'il est envahi par de la renouée du Japon, qui est une plante exotique invasive. À cet égard, nous rappelons que la fauche de renouées asiatiques est absolument interdite dès lors qu’elle favorise leur dissémination par l’intermédiaire de petits fragments de tiges ou de racines qui se bouturent aisément.